Les vendredis de la Librairie Clairafrique

Causeries sous le Baobab

Créée 1951, la Librairie Clairafrique est la plus ancienne et la plus dynamique des librairies existantes au Sénégal. Spécialisée dans les manuels scolaires, La librairie est en même temps une papeterie et une maison d'édition. Je me rappelle bien les moments d'achats où nos parents se rués vers cette librairie située à la place de l'indépendance pour nous faire le plein de fournitures scolaires, avec les pages de couvertures, les compas, les règles et autres pâtes à modeler. C'était non seulement l'une des première librairie mais elle était aussi une librairie au service de la clientèle, à savoir qu'au delà de l'aspect commercial, elle avait aussi des ambitions sociales et ce n'est pas un hasard que le centre culturel Daniel Brothier soit à proximité, sa création et son expansion nous le devons à cette Librairie qui  créa cet espace culturel où se faisait les différentes représentations culturelles de la capitale.
La certification Iso 9001 lui a été décernée pour justement récompenser les efforts de l'ensemble du personnel mais surtout que cette distinction s'inscrit dans la démarche de qualité de la Librairie. Toujours fidèle à sa mission qui est d'apporter à la clientèle le nécessaire pour le développement des aptitudes intellectuelles par le biais des livres, la librairie a toujours été du côté des amoureux de la lecture et ce n'est pas un hasard qu'aujourd'hui, l'une de ces agences soit à côté de l'université Cheikh Anta Diop et l'autre dans la région de Thiès.
Accompagner les intellectuels est une tâche difficile et périlleuse surtout dans nos démocraties naissantes mais au Sénégal, c'est une mission que la Librairie est entrain de réussir en invitant tous les vendredis, les sénégalais mais aussi l'ensemble des expatriés, touristes présents pour débattre de sujets d'actualités. C'est maintenant un lieu de rencontres, d'amitiés, de partage où il fait bon de s'y rendre non seulement pour satisfaire sa curiosité intellectuelle avec les ouvrages en rayons mais dialoguer, philosopher sur les évènements non seulement nationaux mais internationaux où tous les sujets sont abordés sans détours.  

La Librairie Clairafrique est la plus ancienne et la plus dynamique des librairies existantes au Sénégal. Spécialisée dans les manuels scolaires,c'est maintenant un lieu de rencontres, d'amitiés, de partage où il fait bon de s'y rendre pour satisfaire sa curiosité intellectuelle avec les ouvrages en rayons mais aussi pour dialoguer, philosopher sur les évènements  nationaux et internationaux où tous les sujets sont abordés sans détours. J'ai pu assisté à un débat sur le sujet religieux qui comme vous le savez n'est pas toujours facile à aborder mais les participants – au nombre desquels se trouvaient des hommes religieux très connus – ont discuté sans tabous de sujets brûlants. Fidèle à sa réputation, la librairie Clairafrique organise des séries de conférences animées par l’intelligentsia sénégalaise. S’il est au Sénégal un lieu où l’on peut débattre en toutes libertés, c’est bien à la Librairie Clairafrique qui organise tous les vendredis des rencontres débats sur des thèmes d’actualités. A l’affiche pour le samedi 13 septembre, une causerie sur la quête identitaire, approche psychanalyste animée par Liliane Izambard (psychologue clinicienne), avec comme modérateur le professeur Oumar Ndao. Depuis 1951, la Librairie Clairafrique s’efforce d’apporter une touche culturelle à ces différentes activités. Outre les activités commerciales qui est de proposer des ouvrages dans toutes les disciplines, La librairie est aujourd’hui un lieu convivial où les intellectuels se donnent rendez-vous chaque fin de semaine avec des causeries sur différents thèmes déjà abordés: la démocratie sénégalaise qui a été présenté par le professeur Madior Fall, Histoire de l'église catholique par le père Joseph Roger de Benoît, les enfants de la rue avec Mme Sylviane Diop et M. Babacar Fall. Intellectuels s’entend pour toutes les personnes qui aiment échanger, discuter et parler en toutes libertés des sujets de préoccupations actuelles. Vous avez un thème qui vous tient à cœur, vous voulez seulement partager vos idées, rencontrer des personnes intéressantes ou tout simplement être en phase avec les activités de la capitale sénégalaise surtout pour les expatriés nationaux comme étrangers, une seule direction, la Librairie Clairafrique sise à l’entrée du couloir de la mort à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar,Elisabeth Naveau, Justin Diatta et toute l’équipe de la Librairie se feront un plaisir de vous accueillir tous les vendredis et puisque Ramadan oblige, les débats commenceront dès 15h30.


Fidèle à sa réputation, la librairie Clairafrique organise des séries de conférences animées par l’intelligensia sénégalaise. S’il est au Sénégal un lieu où l’on peut débattre en toutes libertés, c’est bien à la Librairie Clairafrique qui organise tous les vendredis des rencontres débats sur des thèmes d’actualités.  A l’affiche pour Ce samedi 13 septembre, une causerie  sur la quête identitaire, approche psychanalyste animée par Liliane Izambard (psychologue clinicienne), avec comme modérateur le professeur Oumar Ndao. Depuis 1951, la Librairie Clairafrique s’efforce d’apporter une touche culturelle à ces différentes activités. Outre les activités commerciales qui est de proposer des ouvrages dans toutes les disciplines, La librairie est aujourd’hui un lieu conviviale où les intellectuels se donnent rendez-vous chaque fin de semaine.


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Version imprimable | Actualités | Le Mardi 16/09/2008 | 2 commentaires


Commentaires

"Accompagner les intellectuels est une tâche difficile et périlleuse surtout dans nos démocraties naissantes"  Si cela était aussi vrai que ce que vous écrivez, cette librairie mettrait en vente les livres qui fachent le pouvoir. Et cela rendrait votre publireportage un peu plus crédible.

 


mary | Le Samedi 05/09/2009 à 21:29 | [^] | Répondre

Re:

Bonjour,
Mes excuses  pour la réponse tardive, et je tenais à vous remercier pour l'intérêt que vous avez manisfesté pour la publication de mon article. En effet, je viens de remarquer ce fait et récemment j'ai assisté à la séance de dédicace du dernier livre de Latif Coulibaly qui mettait en doûte la gestion de l'Anoci.Vous n'avez pas du tout tort et je me ferai le plaisir de me renseigner sur le pourquoi, d'autant que M. Coulibaly n'est pas à son premier coup d'essai sur comme vous le dites les ouvrages qui "fâchent" le régime. Seulement, c'est en assistant à l'un de ces débats qui portaient justement sur les marabouts au Sénégal que je me suis permis d'affirmer ce fait et en comparaison avec la plupart des autres pays africains où il me semble certains sujets ne sont pas du tout débattus. En effet parmis les invités il n'y avait le fils je crois du Khalife des tidianes qui était présents et cela n'a pas du tout empêcher les critiques très directes sur les marabouts qui comme vous le savez font partie des sujets qui fâchent. Est-ce une volonté voulue de la part des organisateurs de ne pas parler politique et de se limiter uniquement aux aspects culturels ? L'avenir proche nous le dira et peût  être sans doute il y a des explications. Je ne manquerai pas de me renseigner, mais reconnaissez tout de même que parler des sujets que l'on pourrait qualifier de tabous est une bonne chose en soi surtout pour nos démocraties naissantes. Dans tous les cas, je vous tiendrai au courant.
Merci de votre contribution

 


bangalicisse | Le Mercredi 09/09/2009 à 12:16 | [^] | Répondre